Vendredi 17 août.
Aujourd’hui départ pour Rangiroa. Initialement prévu à 10h, notre avion partira à 12h.
Mais apparemment, c’est habituel ici. C’est bien la première fois que nous prenons un avion en short, t-shirt et en tongs !
Petit vol de 45 min pour aller sur l’île de Rangiroa. La plupart des passagers de notre avion sont des élèves.
A notre arrivée, nous comprenons que ce sont les collégiens internes de Rangiroa qui arrivent, et que ce vol a été rajouté pour eux (la rentrée était le 15 août, il ne devait pas y avoir grand monde dans le collège). Nous avons eu de la chance d’avoir pu prendre ce vol lors de notre réservation.
Aujourd’hui départ pour Rangiroa. Initialement prévu à 10h, notre avion partira à 12h.
Mais apparemment, c’est habituel ici. C’est bien la première fois que nous prenons un avion en short, t-shirt et en tongs !
Petit vol de 45 min pour aller sur l’île de Rangiroa. La plupart des passagers de notre avion sont des élèves.
A notre arrivée, nous comprenons que ce sont les collégiens internes de Rangiroa qui arrivent, et que ce vol a été rajouté pour eux (la rentrée était le 15 août, il ne devait pas y avoir grand monde dans le collège). Nous avons eu de la chance d’avoir pu prendre ce vol lors de notre réservation.
Nous sommes accueillis par Aurélie, elle a accepté de planter notre tente chez elle pendant 5 jours (car le camping était complet).
Nous arrivons chez elle, et faisons la connaissance de toute la famille : Benoît son mari, Madeck et Louise ses enfants, aito le chien qui n’a pas manqué de nous sauter dessus (et grogner après moi, mais pas sur Claire) en arrivant, et une petite chatte que la famille a récupéré il y a quelques semaines. Ils sont super gentils et nous mettent à l’aise dès notre arrivée. Nous sommes en Polynésie, il ne faut pas l’oublier. Les gens ici ont le cœur sur la main et certains métropolitains prennent le pli. Ils sont contents de nous aider et de nous héberger.
Nous plantons notre tente, non pas dans le jardin, car beaucoup de pierres et de corail par terre, mais sur la terrasse. La classe.
On commence à monter la tente, et Aurélie nous propose un VRAI matelas gonflable. Alors, sachant que nos nuits à Fakarava n’ont pas été des plus agréables, nous acceptons bien volontiers la proposition. Sauf que le matelas ne rentre pas dans notre tente. Pas de soucis, ils nous prêtent aussi leur tente 3 secondes 3 places toute neuve jamais servie.
Nous discutons de nos vies respectives. Nous partons ensuite faire un tour sur le bord du lagon, rencontrer le club de plongée pour notre plongée de demain, et voir Louise faire du va’a (la pirogue polynésienne).
Retour à la maison, on mange ensemble et une bonne nuit nous attend.
Nous arrivons chez elle, et faisons la connaissance de toute la famille : Benoît son mari, Madeck et Louise ses enfants, aito le chien qui n’a pas manqué de nous sauter dessus (et grogner après moi, mais pas sur Claire) en arrivant, et une petite chatte que la famille a récupéré il y a quelques semaines. Ils sont super gentils et nous mettent à l’aise dès notre arrivée. Nous sommes en Polynésie, il ne faut pas l’oublier. Les gens ici ont le cœur sur la main et certains métropolitains prennent le pli. Ils sont contents de nous aider et de nous héberger.
Nous plantons notre tente, non pas dans le jardin, car beaucoup de pierres et de corail par terre, mais sur la terrasse. La classe.
On commence à monter la tente, et Aurélie nous propose un VRAI matelas gonflable. Alors, sachant que nos nuits à Fakarava n’ont pas été des plus agréables, nous acceptons bien volontiers la proposition. Sauf que le matelas ne rentre pas dans notre tente. Pas de soucis, ils nous prêtent aussi leur tente 3 secondes 3 places toute neuve jamais servie.
Nous discutons de nos vies respectives. Nous partons ensuite faire un tour sur le bord du lagon, rencontrer le club de plongée pour notre plongée de demain, et voir Louise faire du va’a (la pirogue polynésienne).
Retour à la maison, on mange ensemble et une bonne nuit nous attend.
Samedi 18 août
Nuit un peu mieux qu’à Fakarava mais pas optimale, le matelas avait un trou. Obligés de le regonfler dans la nuit.
Comme on plonge cet après midi, on ne fait pas grand chose ce matin. Je pars avec Benoît au lagon trouver la fuite du matelas (car le sceau était top petit pour trouver la fuite, il fallait une surface plus grande), Claire part avec Aurélie voir les artisans fabriquant des bijoux avec des coquillages ou de la nacre. Elle fait la connaissance d’Emmanuelle, une métropolitaine vivant à Tiputa (de l’autre côté de la passe) et qui nous propose de venir découvrir ce coin de l’île et loger chez elle (ils sont vraiment super sympa ici).
Nuit un peu mieux qu’à Fakarava mais pas optimale, le matelas avait un trou. Obligés de le regonfler dans la nuit.
Comme on plonge cet après midi, on ne fait pas grand chose ce matin. Je pars avec Benoît au lagon trouver la fuite du matelas (car le sceau était top petit pour trouver la fuite, il fallait une surface plus grande), Claire part avec Aurélie voir les artisans fabriquant des bijoux avec des coquillages ou de la nacre. Elle fait la connaissance d’Emmanuelle, une métropolitaine vivant à Tiputa (de l’autre côté de la passe) et qui nous propose de venir découvrir ce coin de l’île et loger chez elle (ils sont vraiment super sympa ici).
De mon côté, je profite du soleil pour aller faire quelques photos cartes postales au bord du lagon. Magnifique.
On part cet après midi pour plonger avec le club de Rangiroa plongée. Claire a un peu d’appréhension par rapport à sa dernière plongée, mais tout se passe très bien . Nous sommes contents de cette plongée, nous avons pu voir quelques requins, une raie (pastenague ou léopard) rapidement et deux dauphins, parmi les espèces les plus grosses.
On retourne ensuite chez Aurélie, après avoir fait quelques courses au supermarché.
Dimanche 19 août
Il ne fait pas beau aujourd’hui (un peu comme les autres jours en fait), mais comme nous n’aimons pas ne rien faire, et que la pluie ne devrait pas durer, nous préparons notre pique nique et partons en vélo à la recherche d’une plage au bord du lagon. Plage trouvée, nous mangeons puis nous nous jetons à l’eau. Il y a plein de requins pointe noire, mais une fois à l’eau ils sont tous partis. Tous les requins n’aiment pas manger les humains !
Il ne fait pas beau aujourd’hui (un peu comme les autres jours en fait), mais comme nous n’aimons pas ne rien faire, et que la pluie ne devrait pas durer, nous préparons notre pique nique et partons en vélo à la recherche d’une plage au bord du lagon. Plage trouvée, nous mangeons puis nous nous jetons à l’eau. Il y a plein de requins pointe noire, mais une fois à l’eau ils sont tous partis. Tous les requins n’aiment pas manger les humains !
Nous restons dans l’eau car un gros nuage, accompagné de pluie, passe au dessus de notre tête.
Une fois la pluie terminée, nous rentrons à notre logement pour nous reposer avant notre plongée de ce soir, enfin plongée « sunset ». Globalement, nous avons été un peu déçu de cette plongée car nous étions au même endroit que la veille. Nous devions voir des scènes de chasse, des reproductions de poissons « chirurgiens », et beaucoup plus de requins, mais rien de tout cela. Nous nous contenterons d’une raie pastenague (que je n’ai pas vu mais Claire oui), d’une petite tortue, d’un gros baliste caché dans une cavité, et d’un beau coucher de soleil à la fin de notre plongée (notre premier depuis que nous sommes en Polynésie, c’est pour dire tellement le ciel est chargé en nuages).
Une fois la pluie terminée, nous rentrons à notre logement pour nous reposer avant notre plongée de ce soir, enfin plongée « sunset ». Globalement, nous avons été un peu déçu de cette plongée car nous étions au même endroit que la veille. Nous devions voir des scènes de chasse, des reproductions de poissons « chirurgiens », et beaucoup plus de requins, mais rien de tout cela. Nous nous contenterons d’une raie pastenague (que je n’ai pas vu mais Claire oui), d’une petite tortue, d’un gros baliste caché dans une cavité, et d’un beau coucher de soleil à la fin de notre plongée (notre premier depuis que nous sommes en Polynésie, c’est pour dire tellement le ciel est chargé en nuages).
Le soir, nous partons au kia ora, vous savez l’hôtel resort où on peut avoir une chambre sur pilotis avec un sol de verre pour voir les poissons, la chambre à minimum 500€ la nuit (enfin celle là c’est celle sur la plage) qu’on aurait bien voulu faire mais un peu beaucoup trop cher pour nous. Bref, nous nous rendons dans cet hôtel pour voir un spectacle de danse polynésienne, Louise y participant.
Nous profitons de ce cadre magnifique pour prendre un petit cocktail et admirer ces danses.
Nous profitons de ce cadre magnifique pour prendre un petit cocktail et admirer ces danses.
Lundi 20 août
Nous partons ce matin direction Tiputa chez Emmanuelle (la personne qui fabrique des bijoux de perles et qui a accepté de nous héberger gracieusement chez elle. Si vous souhaitez y séjourner, rechercher « le fare bleu » sur internet ou sinon ici ). Tiputa fait partie de l’atoll de Rangiroa, et se situe en face de la passe. Il y a juste un bateau « taxi » qui fait la traversée de la passe.
Nous retrouvons Emmanuelle à la sortie du bateau qui nous amène chez elle : un petit coin de paradis. Une maison bleue au bord du lagon.
Nous passerons toute la journée à nous baigner, faire un peu de kayak (mais à deux, c’était un peu un sous marin), discuter, se reposer dans le hamac, couper des noix de coco, râper des noix de coco pour faire du lait de coco. C’était vraiment chouette.
Mardi 22 août
Nous faisons notre première excursion, à l’île aux récifs avec Léon. Le bateau nous récupère à Tiputa. Après 1h de bateau, nous arrivons sur une île isolée et paradisiaque.
Nous faisons un peu de snorkeling, mangeons de la coco, puis nous nous dirigeons vers ces fameux récifs (c’est rare de voir des rochers ici, tous les atolls ne sont constitués que de corail), et des piscines naturelles juste derrière l’océan. On a même trouvé un jacuzzi naturel avec des bulles.
Il est tant d’aller manger. Mais pour rejoindre le lieu de restauration, il faut traverser la « rivière » à pied.
Il est tant d’aller manger. Mais pour rejoindre le lieu de restauration, il faut traverser la « rivière » à pied.
Au menu ce midi, repas typique polynésien : poisson et poulet grillé au barbecue, poisson cru au lait de coco et un gâteau à la noix de coco. On s’est régalé (surtout que ceux de notre table n’ont pas beaucoup mangé de poisson cru, et que sinon ça allait être donné aux requins attendant les restes).
Nous repartons sur Rangiroa et nous allons dans la passe pour observer les dauphins. Après quelques minutes à les chercher, nous redescendons la passe en les suivants. C’était magnifique mais ils ont pas beaucoup sauté.
Dernier arrêt pour aujourd’hui, l’aquarium, un lieu avec plein de poissons.
Le temps de retourner au quai, mettre les deux bateaux de l’excursion sur les remorques (car ici les vents sont changeants, ils ne peuvent pas les laisser à quai), Léon nous dépose chez Aurélie, où nous passons notre dernière soirée avec toute la famille.
Nous repartons sur Rangiroa et nous allons dans la passe pour observer les dauphins. Après quelques minutes à les chercher, nous redescendons la passe en les suivants. C’était magnifique mais ils ont pas beaucoup sauté.
Dernier arrêt pour aujourd’hui, l’aquarium, un lieu avec plein de poissons.
Le temps de retourner au quai, mettre les deux bateaux de l’excursion sur les remorques (car ici les vents sont changeants, ils ne peuvent pas les laisser à quai), Léon nous dépose chez Aurélie, où nous passons notre dernière soirée avec toute la famille.
